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NOUS SOMMES UNE ASSOCIATION DE LOI 1901
Nous développons un sentiment d'humanité en chacun.e, nous cultivons ce que chacun.e a de commun et de semblable avec les autres, dans une reconnaissance à la fois de notre fragilité, de notre force et de notre responsabilité vis-à-vis de la vie, de la terre, de la nature, du Vivant sous toutes ses formes.
Nous créons et œuvrons à des actions communes contribuant à renforcer un sentiment d'appartenance et une prise de conscience de ce qui fait société.
Terres à à Vivre se décline ainsi au pluriel afin de cultiver nos terres - intérieures comme extérieures - sur un plan personnel, familial, professionnel ou social.
NOUS ACCUEILLONS ...
Des personnes victimes et/ou auteur.e.s de violence et leur famille,
Des personnes en prévention de suicide ou en dépression,
Des personnes isolées, momentanément fragilisées dans leur vie professionnelle, familiale ou sociale, par des évènements majeurs (maladies, mal-être, troubles psychiques, traumatismes, violences, dépressions, séparations, périodes de chômage, errances, handicaps, etc ...
Des personnes en situation de crise et/ou en risque de fragilisation, et toute personne intéressée par les actions et les activités de l'association, souhaite faire œuvre commune et soutenir d'autres personnes
NOS OBJECTIFS GÉNÉRAUX...
se construisent autour des thématiques de la santé – telle que définie par la Charte d’Ottawa – et l’égalité
Offrir un environnement humain, chaleureux et soutenant à des personnes (familles, hommes et femmes de tous âges, avec ou sans enfants) confrontées à un risque de fragilisation, consécutif à des difficultés de vie plus ou moins temporaires : violence subie ou agie, traumatisme, dépression, chômage durable, précarité, souffrance et maladie psychique, maladie grave, isolement, etc ... La richesse de cet environnement repose à la fois sur la diversité des personnes accueillies et rassemblées autour de ce projet associatif (professionnels et bénévoles) et sur la nature et la portée sociale des activités proposées,
Retisser des liens familiaux et sociaux positifs, qui soutiennent le potentiel de chacun, afin de consolider durablement ses appuis et reprendre une vie active et responsable, dans l'exercice d'un pouvoir de décider et d'agir avec et pour les autres,
Réactiver chez les personnes accueillies les conditions d'une confiance en soi, en l'autre et en la vie, par des projets dynamiques et motivants, partagés et ouverts sur les autres et sur la société,
Permettre aux personnes en risque d'isolement, de fragilisation, voire de marginalisation, de redevenir actives et responsables au sein de la société et de leur environnement personnel et familial
Prendre soin est ainsi une tonalité, une "marque de fabrique" pour notre association qui se décline dans l'ambition de veiller à la vie sous toutes ses formes.
Concernant le volet de la santé, la Charte d'Ottawa repose sur une réelle prévention de la souffrance physique et psychique et prend en considération les facteurs personnels et sociaux dans le maintien des personnes en bonne santé. C'est pourquoi l'association contribue à la mise en place des conditions qui invitent les personnes à être les actrices de leur santé, aux niveaux physique, psychique et social, par une approche orientée vers la salutogénèse et l'empowerment.
Nous participons au rétablissement du pouvoir de prendre soin de soi-même. Cette promotion de la santé concourt à la lutte contre la stigmatisation et à la réduction des inégalités sociales, dans une optique socio-écologique.
En outre, sensibles à l'interdépendance entre la santé des humains et à celle de la planète, notre conscience nous indique que l'écologie est aussi éco-psychologie, c'est à dire qu'une démarche éco-psychologique engendre nécessairement une attitude écologique.
En effet, l'expérience nous montre qu'une transformation de la société passe en premier lieu par une transformation personnelle.
Comme l'affirme Thomas d'Ansembourg, "un citoyen pacifié est un citoyen pacifiant". Notre façon d'appréhender notre environnement naturel est reliée à notre façon de nous considérer nous-même et de considérer les autres. En conséquence, une personne en bonne santé prend soin d'elle-même, des autres, et par là se préoccupe de son environnement.
Prendre soin est ainsi une tonalité, une "marque de fabrique" pour notre association qui se décline dans l'ambition de veiller à la vie sous toutes ses formes.
TRANSFORMER LA FRAGILITÉ EN FORCE, UN ACCOMPAGNEMENT NÉCESSAIRE ...
Chacun-e peut être confronté-e à des évènements susceptibles de menacer ou de fragiliser l'équilibre de sa vie. C'est pourquoi Terres à Vivre, en ces moments difficiles, accueille et soutient au quotidien, tant humainement que professionnellement. Attentifs à éviter la stigmatisation des personnes en difficulté, nous soutenons le maintien dans leur lieu de vie ou leu travail, pendant la traversée des crises existentielles, afin d'éviter que celles-ci ne dégénèrent dans des processus de marginalisation, de désinsertion, de maladies physiques ou psychiques.
Faire face seules à de telles épreuves, sans avoir eu l'opportunité de réfléchir à la situation, sans s'être ressourcées physiquement et moralement ne permet pas de trouver l'énergie suffisante en soi pour sortir durablement d'une spirale descendante. La fragilité persiste et met en péril un équilibre déjà précaire.
Sans nécessairement relever de l'hospitalisation, certaines personnes recherchent pourtant leur sécurité à l'hôpital pour gérer les crises d'angoisse, pour se mettre en sécurité, se reposer ou simplement pour dormir et être pris en charge dans la vie quotidienne. D'autres peuvent mettre en acte une tentative de suicide pour être accueillis, entendus et accompagnés.
"La fragilité est un risque commun à tous les êtres humains, accentué par nos conditions de vie actuelle
"La fragilité est un risque commun à tous les êtres humains, accentué par nos conditions de vie actuelle. Chacun peut être ébranlé par des évènements pénibles et la vie s'en trouve bouleversée, chamboulée. Faire face aux exigences de la vie quotidienne peut être alors source de difficultés vite insurmontables. Cependant cet état de crise et de déséquilibre peut aussi être une opportunité de transformation et de création s'il est accompagné humainement et professionnellement.
La fragilité est par ailleurs une notion mal définie mais largement usitée dans le champ social et médical. Une définition plus complète favoriserait une meilleure prise en compte (cf. Travaux de Rubenstein, 1984).
L'expression de la fragilité est ainsi toujours multidimensionnelle. Souvent reliée à une dégradation globale des conditions de vie, elle peut conduire à terme à des incapacités et à une perte d'autonomie dans un certain nombre de domaines, notamment :
- une fragilisation du statut cognitif et de la balance émotionnelle,
- une difficulté à affronter divers problèmes de la vie quotidienne et de la vie relationnelle,
- une fragilisation du système immunitaire et de la résistance au stress,
- un processus de retrait social, de repli sur soi avec risque de désinsertion notamment vis à vis de la vie en société et du monde du travail,
- un accroissement de revendications agressives à l'égard de la société, des services sociaux ou médicaux en particulier,
- une fatigabilité et une mésadaptation au changement
- une chronicisation d'un ensemble de symptômes plus ou moins invalidants (troubles du sommeil, de l'alimentation, épisodes dépressifs plus ou moins graves, phobies ...)
- une précarisation des conditions d'existence et une plus grande vulnérabilité aux facteurs de stress
Une des causes de la fragilité semble être la survenue de situations de "cap" (maladie, perte d'un emploi, accident, traumatisme, choc, séparation, deuil, accident du travail, divorce, violence, échec, changement de travail, etc .°. Engendrant des déséquilibres dans les processus d'adaptation à la réalité et à l'environnement, les caps sont des situations agressives auxquelles la personne doit faire face et se réadapter. De cap en cap, face au stress qu'ils engendrent et aux difficultés qui s'accumulent, la situation peut s'aggraver et entrainer une marginalisation progressive de la personne. Petit à petit, se sentant différente des autres, elle peut en venir à s'exclure et limiter ses contacts avec le monde extérieur.
Considérée comme un continuum de situations, en résonance souvent les unes avec les autres, la fragilité peut donc induire une précarisation des personnes et de leurs situations.
L'accompagnement proposé lors de ces "caps" est essentiel pour permettre un franchissement positif et limiter les conséquences en matière de précarisation, de retrait social, d'exclusion ou de rejet dans des systèmes à part.
En effet, il est facile de comprendre que les facteurs extrinsèques (environnementaux, sociaux et relationnels) sont autant à prendre en compte que les facteurs intrinsèques (état dépressif, désorientation, perte de sens, mésadaptation au stress, état de choc).
Prendre en charge les risques de fragilité impose d'agir sur une multitude de déterminants, en particulier socio-relationnels et environnementaux afin d'enrayer une vulnérabilité croissante, la désocialisation, la dépendance aux services sociaux ou médicaux. Cette dernière se traduit par une médicalisation excessive, un recours massif à des hospitalisations en cas de crise ou de détresse, voire une psychiatrisation extrême des problèmes rencontrés.
Lors de ces périodes de fragilisation, les personnes peuvent éprouver le besoin d'être accueillies, et épaulées dans le quotidien, ponctuellement, pour reprendre des forces, se ressourcer, réfléchir à tête reposée et donner du sens à ce qui arrive. Ce temps de pause s'avère parfois vital.
Le soutien de professionnels qui écoutent et accompagnent au cœur de la crise leur permet de traverser et de la transformer. Le contact avec les autres est alors nécessaire, même s'il semble souvent difficile lors de ces moments-là. Il contribue au maintien et à l'entretien de l'élan vital, en nourrissant les besoins d'échanges et de relation, ce qui en retour renforce les mécanismes de défenses immunitaires.
L’entraide est alors précieuse en ce sens qu’elle crée du soutien, de la sociabilité, de la confiance… tant
d’ailleurs chez l’aidé que chez l’aidant. "
Comment permettre à des personnes fragilisées de garder le contact avec leur environnement familial, social et professionnel ? Comment les accueillir et les accompagner à franchir ces obstacles, ces crises existentielles ? Que mettre en œuvre pour les aider à traverser de façon positive et résiliente les crises rencontrées ? Comment prévenir les risques de fragilisation, d’isolement, de désinsertion, d’exclusion, voire de marginalisation ? Comment soutenir les processus de transformation et de création que contiennent ces crises afin d’éviter qu’elles ne deviennent irréversibles et chroniques ?
Pour répondre à ces questions, Elisabeth Perry a témoigné d'une série de constats autour desquels se sont construits ensuite les missions de l'association
Donner un rôle actif et responsable au sein d'un collectif invite la personne à reprendre une place réelle au sein de la société et à se mouvoir dans une dynamique sociale partagée,
La dynamique du donner-recevoir à l’œuvre chez les personnes qui ont reçu une aide les porte à souhaiter contribuer à leur tour. Avec leurs compétences et savoir-faire, elles s'incluent dans un processus d'entraide avec autrui. Par la même elles se consolident et retrouvent une dignité en aidant d'autres personnes. Ainsi cette dignité semble-t-elle davantage liée au fait de donner qu'à celui de recevoir. Ces personnes peuvent ainsi changer de place et de statut. L'entraide est un mouvement de soi vers l'autre et de l'autre vers soi qui créé le lien, l'égalité et la valeur sociale. Elle redonne véritablement fierté et estime de soi et soutient les démarches d'insertion, attribuant une place active et responsable à celui ou à celle qui l'exerce.
Les espaces inter-générationnels assurent une rencontre et un dialogue entre des personnes de tout âge, de toute origine sociale, de tout niveau scolaire, et permet de tisser des liens sociaux riches, basés sur la solidarité, l'entraide et la tolérance. Les activités partagées et co-construites jouent un rôle d'espaces sociaux intégrateurs, en faisant émerger des repères communs.
De nombreuses personnes, notamment parmi les plus jeunes, bouillonnent d'idées et de projets qui ne peuvent pas se réaliser faute de moyens humains et matériels.
Inscrire ces jeunes personnes dans des dynamiques de création nous semble essentiel pour maintenir cet "élan d'envie", favoriser la confiance en soi, en la vie et en la société. Dans cette optique, proposer des activités sociales partagées avec des personnes de tous horizons sociaux ou culturels promeut l'ouverture et le respect.
Une situation délicate peut rapidement se dégrader si la personne concernée n'est pas entourée et soutenue, humainement et professionnellement, et menacer son potentiel évolutif. Il importe d'agir sur les facteurs humains et environnementaux, en maintenant l'équilibre des conditions de vie et en favorisant le dépassement créatif et résilient des crises vécues. C'est pourquoi l'aide apportée doit maintenir, autant que faire se peut, les personnes dans leur milieu de vie et les renforcer socialement.
La souffrance psychique n'est pas une maladie mais elle peut le devenir si elle n'est pas prise en charge. Non accompagnée, elle peut s'installer de façon plus ou moins sourde, avec une perte progressive du contact avec son origine concrète. Elle peut se chroniciser en mal-être diffus, aux multiples expressions (dépression, agressivité, conduites auto-destructrices, marginalisation, retrait, maladies, errance, abandon de responsabilité, toxicomanies et conduites addictives, etc .) si elle ne fait pas l'objet d'un travail thérapeutique concerté.
NOS PRINCIPES D'ACTIONS
Forte de ses observations, l'association a élaboré son intervention autour de ces principes d'actions ou valeurs
Nous accompagnons des personnes et non des problèmes. Nous refusons la stigmatisation des personnes en les désignant par leurs difficultés, qui serait préjudiciable à leur vie personnelle et sociale. Nous considérons la difficulté rencontrée simplement comme un évènement plus ou moins durable de la vie que nous accompagnons humainement et professionnellement à franchir.
Nous reconnaissons une égalité et une valeur existentielle à chacun.e. Nous portons sur le public accueilli un regard bienveillant et confiant en ses capacités et ses ressources. Chacun est accueilli dans la considération d'être un acteur social, responsable et capable. Nous offrons une ouverture à l'autre et un accueil permanent de sa différence.
Nous valorisons l'engagement des personnes dans des actions sociales, également tournées vers les autres et vers la société. Nous encourageons la conduite cogérée de projets concrets de nature artisanale, artistique et/ou culturelle ayant une vraie valeur et une vraie dimension sociale. Nous invitons les personnes à passer d'une place d'aidé(e) à une position active en aidant ou en offrant des services, car nous considérons que chacun.e est une richesse pour l'autre. Nous donnons une primauté à l'action et à la création, personnelle et/ou collective.
Nous privilégions une hétérogénéité des personnes accueillies dans nos activités. En effet, la mixité des publics impliqués (hommes, femmes, familles, avec ou sans difficulté, tous âges et tous milieux socio-économiques) promeut la tolérance, revitalise les personnes et les liens sociaux, mobilise les relations de solidarité et d'entraide, favorise l'apprentissage du vivre et agir ensemble.
Nous partageons des moments conviviaux qui saluent les actions menées, les liens noués, la création de projets ...
L'association propose des activités partagées et cocrées autour de 5 objectifs
Restauration d’une veille citoyenne
À l’image des veillées anciennes, où chacun venait discrètement en renfort auprès d’une personne confrontée à une difficulté de vie, il s’agit de réveiller en chacun de nous cette capacité d’entraide qui suggère à la personne en souffrance de réapprendre à réactiver d’abord son réseau de proximité (amis ou familles). Chacun d’entre nous peut retrouver cette attention à ses proches, en veillant respectueusement à leur vie.
Soutien et entraide bénévoles
Les bénévoles impliqués forment un réseau d’entraidants formés par un professionnel qui assurera un soutien humain et chaleureux aux personnes fragilisées ou en risque de le devenir. Ce réseau, coordonné par le professionnel, fonctionnera dans le cadre d’une charte d’accompagnement qu’ils définiront. Trouver en soi les ressources pour soutenir l’autre permet de les mobiliser également pour soi-même au même titre que ses capacités d’adaptation renouvelées.
Accompagnement avec des professionnels
Le collectif est composé de professionnels de diverses disciplines complémentaires : psychologues, psychothérapeutes, art-thérapeutes, praticiens de l’approche corporelle, acupuncteur, médecin, infirmiers. En parallèle, des professionnels de l’éducation, du travail social et de l’insertion interviennent également. Ce collectif propose un accompagnement adapté et concerté, pluridisciplinaire dans la mesure où il prend en compte la personne dans sa globalité (corps, émotion, psyché). Il s’agit de rechercher avec la personne accueillie les approches thérapeutiques susceptibles de lui venir en aide.
Dynamiques sociales partagées
L'association veille à ce que les personnes maintiennent le lien avec les autres, avec leur environnement familial, professionnel et social. Des activité partagées de nature artisanale, artistique et culturelle sont ainsi proposées : elles ont une véritable valeur sociale en ce sens qu'elles sont orientées vers la société et vers les autres en général. En effet, une activité co-créée est porteuse d'une dynamique de création essentielle à la vie, en s'appuyant sur les échanges avec les autres. Il s'agit e faire en sorte que chacun prenne sa place et perçoive un sentiment d'utilité au sein du collectif.
Une telle démarche collective permet de rencontrer les autres de façon plus douce, moins frontale, de renouer plus aisément les relations. Les personnes les plus énergiques peuvent entrainer les autres et insuffler des forces nouvellement acquises.
Hébergement de courte durée
Une petite maison d'accueil héberge des personnes pour des séjours de courte durée, le temps nécessaire pour une reprise en main effective de sa vie ou sa réorientation si besoin. Ce lieu de vie partagé soutien l'insertion des personnes, permet un temps de relecture de la crise pour la surmonter, donner du sens à sa vie, retrouver son autonomie. Cet hébergement propose un accompagnement (social, psychothérapeutique ou professionnel) aux personnes qui le souhaitent, assurant un accueil de qualité et respectueux, ouvert sur l'extérieur.
Animés d'une conscience aiguë de la place et de l'importance de chacun, de cet Autre - comme nous, "morceau du monde, ainsi que l'exprimait Jung - qui participe à la réalisation du projet associatif, nous avons instauré une complémentarité particulière et indispensable entre
La dimension professionnelle impliquée dans les démarches d'accompagnement et de soin proposées Côté Cour
un lieu Ma Ta Sa Violences, centre de consultation, propose une "alternative thérapeutique à la violence", à l'égard des victimes comme à l'égard des auteur.e.s, notamment dans le cadre de la violence conjugale et intrafamiliale. Nous y accompagnement également des enfants et adolescents qui ont été confrontés à à la violence au sein de leur famille au moyen d'une approche diversifiée et globale des situations
et d'autre part la dimension de l'accompagnement développé "en humanitude" Côté Jardin accomplie grâce aux bénévoles et adhérents que nous sommes. La mixité des personnes est alors primordiale à nos yeux dans la mesure où elle est essentielle à l'atteinte des objectifs visés par l'association : remise en activité positive, sortie de l'isolement, soutien effectif de la santé psychique et mentale, restauration de la vitalité par l'activité et le contact avec la terre et la nature, solidarité et entraide au sein d'un groupe, ouverture et tolérance, accueil et compréhension de l'autre...
